Saturday, December 31, 2011

Virée à Melbourne

6 jours, 2700 Kms, retour d'une virée jusqu'à Melbourne et une portion de la Great Ocean Road via la côte à l'allée, et Canberra au retour.

Petit aperçu de notre périple.

View Sydney - Melbourne in a larger map

Nous le savions déjà mais cette fois on l'a bien testé : l'Australie c'est grand très très très grand et c'est vide, très très très vide. Mais on y trouve des paysages magnifiques et d'une diversité parfois déroutante.

En voici un bref aperçu en images.

Enjoy !

Tuesday, November 15, 2011

Jacarandas, le retour

Novembre, fin du printemps, et revoilà le retour des jacarandas. on ne s'en lasse pas. Zoup, deux trois pour le plaisir.

Saturday, November 12, 2011

Fagan Park



Aujourd'hui, virée à Fagan Park. Un ancien domaine agricole qui fut donné à la commune et a été transformé en parc avec lac, aire de jeux, bbq, jardin populaire et petit écomusée qui était ouvert aujourd'hui.
Puis retour par le bac de Berowra water, seul moyen de traverser la rivière sans faire un bon détour.

Friday, November 11, 2011

Oiseaux de paradis


It's that time of the year again, où les rues se parent du violet flamboyant des Jacarandas, et où les oiseaux de paradis s'épanouissent dans le jardin (photo prise par Erinette ce matin). Encore quelques semaines officiellement mais l'été est déjà bien là. Programme soirées BBQ, plages et piscine.

Wednesday, November 9, 2011

Halloween


Une fois encore, zombies et sorciéres sont sortis dans les rues le 31 Octobre. L'ambiance n'est pas la même sous un grand soleil, mais c'est aussi sympa de faire le tour du quartier dans de telles conditions.

Sunday, October 16, 2011

Bestiole locale

Dans la série des bestioles locales qu'on aime, Faan a hier eut le privilège de tester pour nous, à sa plus grande joie.... la sangsue !
Pour le côté technique, ça marche comme les limaces: saupoudrer de sel pour les disuader et dissoudre, c'est plutôt ragoutant il va sans dire. Désolés, nous n'avons pas pris de cliché de l'opération.
Mais après recherche on aurait peut être dû la laisser, il semblerait, si l'on en croit nos amis suisses, que ces adorables bestioles soient bonnes pour la santé... lire. Alors, tentez ?

Saturday, October 8, 2011

Taronga Zoo








Nous y étions allés à notre arrivée, nous y sommes retournés aujourd'hui.
Une journée, à Taronga Zoo, alias le zoo de Sydney, c'est certes plein d'animaux, d'ici, d'ailleurs, plus ou moins étranges; mais c'est aussi une expédition en ferry et une vue magnifique sur l'opéra et le pont de Sydney.

Saturday, September 24, 2011

Cowra Japanse Garden & Carcoa Village

Virée dans les blue mountain ce weekend à destination de Cowra, petite ville rurale à 4h de route, siège d'un magnifique jardin japonais où se tenait un festival. Pendant que Fred faisait des roulades sur le tatami de démonstration d'arts martiaux avec le club d'aikido, nous avons découvert diverses facettes de la cultures japonaise: musique, caligraphie, origami, cerf-volants....

Puis nous avons remonté le temps en passant la nuit à Carcoa, une réservation d'hôtel de dernière minute qui nous a téléportés dans un village à l'écart de la route, où tout semble s'être figé au début du siècle dernier.
Une fois encore par contre, les éléments étaient contre nous et c'est sous la pluie et la neige que nous avons fait le chemin du retour sans arrêt à Katumba. Mais il ne sera pas dit que nous ne verrons pas les Three Sisters durant notre séjour ici, c'est décidé, on retente le coups en décembre !

Sunday, September 18, 2011

Sydney Running Festival

Voilà une petite éternité que ce blog n'a pas été mis à jour. Mais heureusement, voilà les vacances qui commencent et enfin l'occasion d'avoir une peu de temps pour donner quelques nouvelles.
Le Sydney running festival disions nous donc. L'occasion de marcher/courir en famille sur le harbour bridge et une bien belle façon pour Fanny fraichement débarquée de l'avion de découvrir Sydney.

Saturday, June 25, 2011

Disco


Une fois par an c'est soirée disco à l'école. Look d'enfer pour l'occasion et commentaire de Mattéo: "Cool, mais ils n'ont passé ni Queen ni M. Jackson" ....

Wild flower garden





Le wild flowers garden à St-Yves. Oubliez le jardin des plantes, le parc floral.... ici c'est chemin dans le bush et l'impression d'être perdu au milieu de la nature à même pas 1 km des habitations.
Bluffant.

Friday, April 22, 2011

Kata Tjuta et Uluru

8 Avril : la bande au complet plus Moune (ci-après collectivement nommés les Dalton) s'envolent de Sydney en direction d'Alice Springs. Pour les gens non familiers avec la géographie australienne, Alice Springs est vers le centre du pays, en bas du "Northern Territory", dans cette zone aride, terre rouge et ciel bleu profond, à 2770 km de Sydney par la route. Il y en a qui y vont en voiture...


Lorsque l'avion amorce sa descente, première surprise : ma parole, c'est tout vert ! On nous aurait menti ? Ma voisine m'explique que l'année passée a été particulièrement humide, avec 700mm d'eau à la place des 70mm habituels. La nature sait profiter rapidement de ces aubaines.
Nous ne ferons qu'un petit tour rapide dans la petite ville : un petit centre touristique, des Aborigènes qui vendent leurs créations dans la rue, plein de backpackers partout.

9 Avril : notre guide nous récupère à 6h, puis nous finissons la tournée pour collecter les autres voyageurs (nous serons un groupe de 24), et nous partons dans notre petit bus en direction du Sud, vers le parc national dans lequel nous passeront 3 jours. Pour les gens qui n'ont pas le sens de l'orientation comme moi, ce pays est très pratique. Il y a une route, la Stuart Highway, qui va du Nord (Darwin) au Sud (près d'Adelaide) et qui passe par Alice Springs. Voilà. Ah, si, il y a une intersection avec la route qui va vers le parc national : comme quoi, j'aurais encore une chance de me perdre !
La route est assez longue, mais nous faisons quelques étapes (dont une au centre de l'Australie ! des plages tout autour, un peu loin il est vrai...), et notre guide nous raconte plein d'anecdotes sur la construction de la route, le pays,... En plus des grands kangaroos rouges, l'Australie héberge la plus grande population mondiale de dromadaires sauvages. Ils en exportent aux Émirats Arabes et dans d'autres pays du golfe...


Notre guide est extrêmement insistante sur la question de l'eau, et la quantité que nous devons boire par jour (3 litres par jour comme base, et au moins 1 litre par heure supplémentaire en marchant). Il fait bien chaud, mais l'air est surtout particulièrement sec, et en effet on n'a pas l'impression de transpirer.
Après un arrêt à notre campement (le seul autorisé dans le parc), nous repartons vers Kata Tjuta pour une première ballade : il s'agit d'une formation rocheuse similaire à Uluru mais composée de 36 domes. De loin, l'aspect est lisse et chatoyant, mais de près on se rend compte de la complexité de l'environnement : points d'eau, végétation, coins et recoins,...
La journée avance, et nous voulons encore profiter du couché du soleil. Direction le point de vue officiel sur Uluru ! Nous ne sommes pas les seuls, et ils sont bien équipés : table, nappe, verre de champagne... 


Le ciel est un peu couvert, mais le couché du soleil sur Uluru est un très beau spectacle malgré tout. Mais il ne faut pas oublier de se retourner pour profiter de la vue sur Kata Juta. L'aspect vu de loin fait étonnement penser à Homer Simpson en train de faire la sieste :-)


Notre guide nous fait un cours de géologie à même le sable rouge, pour nous expliquer les méchanismes de formation de ces formations. Puis, retour au camp, pour un repas collectif et un peu de papotage. Mais il vaut mieux se coucher tôt, car le lendemain...

10 avril : debout 5h. Après le coucher, nous voulons également voir le lever du soleil sur Uluru ! Là aussi, sans surprise, nous ne sommes pas les seuls. 


La lumière change très rapidement (et là aussi, les nuages mangent une bonne partie du contraste que l'on aurait pu avoir, mais sans gâcher l'occasion pour autant). Après cette vue d'ensemble, nous nous lançons dans le tour d'Uluru à pied. Le chemin fait environ 10km, et permet de contempler les formes parfois fantasmagoriques sous toutes les coutures.


De grandes sections ne peuvent pas être photographiées car elles représentent encore des lieux sacrés des Aborigènes, qui sont les propriétaires officiels de toutes ces terres, et les louent au gouvernement qui se charge de l'exploitation touristique. Et bien entendu il y a toutes les zones que nous ne devinons même pas, cachées dans les replis de la structure rocheuse.
Après cette exploration libre, notre guide nous présente à une Aborigène et son interprète (japonaise) qui nous emmène voir quelques lieux de plus près et nous explique en bien plus de détails comment les gens chassaient, utilisaient les abris et partageaient les histoires en s'appuyant sur les illustrations peintes aux murs. Ces histoires sont essentielles dans la culture aborigène, et servent de moyen de transmission des informations essentielles.

Le soir nous nous installons dans un autre campement, plus proche de notre objectif du lendemain, mais vraiment isolé. Feu de camp, marshmallows grillés, chorale de dingos au loin et voûte étoilée au dessus de la tête, que demander de plus !

11 avril : debout 5h, une marche un peu plus escarpée nous attend dans Kings Canyon, et nous voulons profiter de la faire à la fraiche autant que possible. La ballade commence par 546 marches rocheuses (comptées par Mattéo) pour nous mener à la crête du canyon, puis nous suivons de tortueux chemins entre les roches et les précipices. Là encore, la végétation est très surprenante, alternant entre des zones terriblement arides et des jardins paradisiaques à l'abri des parois rocheuses. Nous apprenons les trucs de survie des eucalyptus du coin, qui savent se débarrasser de certaines de leurs branches quand les temps sont durs, et qui arrivent à se déplacer un peu.


Il semblerait que sur le chemin du retour vers Alice Springs, l'intégralité du bus (hormis le chauffeur) ait piqué du nez pour se remettre de ces journées bien remplies. Je ne peux pas confirmer, je n'ai rien vu après l'effort intense qui m'a permis de gagner le concours de Wee-a-Bix (1min10 pour en manger un sec, essayez, c'est pas facile !) Nous meublons la longue route avec quelques chansons (Home among the Gum Trees, et le formidable Come to Australia, à ne pas manquer !)
Comme l'ambiance du groupe a été très bonne, nous nous retrouvons le soir au restau tous ensemble pour un moment de détente autour d'une bonne bière (ou deux).

La suite de nos aventures (et plus de photos) à suivre dans peu de temps !

Sunday, February 20, 2011

Renée-Charlie et ses amis


Nous étions prévenus, les araignées peuvent être grosses et pour certaines très dangereuses en Australie. Nous avons appris à les repérer, à les identifier, et nous continuons (malheureusement...) à étendre la liste de celles rencontrées. Il y avait eu la red-back dans le BBQ, nous avons Renée-Charlie, joli spéciment de orb-weaver spider qui campe devant la fenêtre de la chambre des enfants (on essaye toujours de la photographier mais elle est à contre jour) les multiples St Andrew cross spiders qui décorent le jardin, et depuis samedi s'ajoute à la liste la huntsman. Grandes (très grande....), rapides (très rapide....) plates et stupides, elles adorent les petits espaces style joints de portières de voiture. Oui, nous sommes supposés les attraper, pour les relâcher plus loin, il faut protéger ces créatures indispensables au cycle biologique, mais non désolée, les armes chimiques restent notre meilleur allié.
Rq 1: le voisin (pourtant australien lui...) m'a avoué ce matin avoir une autre méthode intéressante: il les écrase au ballon de foot ou à la balle de tennis ;-)
Rq 2: Renée-Charlie doit son nom à la non-identification de son identité, il/elle a donc un nom qui peut être aussi bien féminin que masculin... selon les kids.

Le nutella c'est plus ça


Non, si, incroyable, que dis-je impensable, non seulement ils ont des pots en plastique pour le nutella, mais en plus ils ont changé l'étiquette... Hérésie totale !!!! mais bon, tant pis, on en mange tout de même.

9 ans et toutes ses dents






Enfin presque, il lui en manque 2 en ce moment ! Week-end de fête pour les 9 de notre grand Pitchou avec sleep-over et journée à reptiles park. Si jamais vous venez, on vous emmènera, c'est tout près et vraiment bien. Nous avons appris plein de choses intéressantes sur les reptiles et les araignées. Ce parc est le premier centre australien d'extraction de venin de serpents et de funnel web pour la fabrication d'anti-venin.

Sunday, January 23, 2011

Le premier visiteur a survécu !

Pourtant nous avons tout essayé: la rencontre avec des animaux sauvages au détour d'un chemin, la rando dans le bush, l'ascension du phare sous une chaleur accablante, l'assaut des vagues de l'océan pacifique. Rien n'y a fait, il est repartit chez lui entier, en nous laissant bien contents de sa visite mais aussi bien tristes de le voir partir. En attendant les prochains.
Petit aperçu de nos aventures

Friday, January 7, 2011

Petit traité de Possumologie

L'étude des possums en milieu urbain a fait de grands progrès ces derniers temps. Nous dénombrons maintenant 4 états principaux du possum :

  - le possum séché, qui a déjà été étudié par le passé: cet état lui permet de passer de nombreuses semaines sans consommer beaucoup d'énergie. Il amuse aussi beaucoup ceux que le découvrent par accident...
  - le possum en suspension : observé pendant les fêtes dans les fils électriques menant aux maisons, il semblerait que cet état permette au possum de mieux profiter de la vue ;
  - nouveau : le possum en combles. Produit d'intéressants bruits lorsqu'il se promène pendant la nuit au dessus de la tête des innocents habitants. Dans cet état, il tend à faire ses besoins au même endroit, ce qui peut conduire à certains désagréments dans un pays chaud...
  - nouveau : le possum éclaté. Il possède la capacité de laisser ses intestins sur la terrasse, et la plus grande partie de son corps en divers endroits du jardin. Semble être relié à l'état "satisfait" du chat du voisin.

Notre prochaine étude tentera de vérifier qu'un même possum peut passer directement de l'état "en combles" à l'état "éclaté", ou si cela nécessite la présence de deux spécimens. Je ne vous cache pas que ma fibre scientifique en est toute titillée.

Sunday, January 2, 2011

Noël au soleil (ou presque)

Départ aux aurores (5h du mat'...) le 25 décembre. Destination : Tangalooma, sur Moreton Island, au large de Brisbane, à 900 km au nord de chez nous. Objectif : utiliser un peu ces jolis masques et tuba que le père Noël a apporté aux enfants.

Nous faisons notre première pause, pour un petit déjeuné bien mérité, vers Black Head (un peu avant Port Macquarie, pour ceux qui suivent avec une carte :)). Le temps est un peu gris mais personne ne songe à s'en plaindre : nous venons de voir passer nos premiers dauphins, qui se promènent le long de la côte. Les dauphins, c'est comme les lézards : quand on en voit, c'est en général signe d'une bonne balade !

Histoire de ménager un peu les troupes, qui sont à l'arrière, plongés dans les aventures d'Esteban à la recherche des Cités d'Or ("le XVIème siècle... Des 4 coins de l'Europe, de gigantesques voiliers...", enfin bref, je m'égare), nous nous arrêtons en début d'après-midi vers Coffs Harbour, pour y passer la nuit. Le temps n'est toujours pas idéal, mais nous ne nous laissons pas décourager, et profitons de la plage un bon moment.

Le lendemain, nous reprenons la route pour attraper notre bateau, qui part de Brisbane. La pluie nous accompagne, et limite un peu notre motivation à visiter la ville (bien que nous ayons une heure de plus que prévue, Queensland n'appliquant pas l'horaire d'été...) Nous embarquons enfin, toujours sous un temps que Dublin ne nous envierait pas. 75 minutes de traversée tranquille et nous débarquons à Moreton Island.

La plus grande partie de l'île a le statut de réserve naturelle. Le centre de vacances et quelques maisons plus au nord sont la seule exception. La grande attraction, en plus de la plage et des multiples activités nautiques et sportives, est la possibilité de voir des animaux dans leur milieu (tortues, dauphins, raies,...), avec les conseils et explications des rangers locaux, qui travaillent sur le site en permanence.

Au bout du deuxième jour, nous sommes bien convaincus que le temps n'ira peut être pas en s'arrangeant d'ici à la fin de notre séjour, et qu'il est inutile de décaler nos activités pour autant. Heureusement, la température est douce, l'eau est tiède (celle du ciel comme celle de la mer), et au final nous passerons un bon moment à nager tous les jours. Nous participons à plusieurs tours et mini-conférences pour apprendre les habitudes et moeurs des animaux locaux, les enfants ramènent les ossements trouvés sur la plage pour demander l'avis des spécialistes sur leur provenance,...

Et les dauphins, alors, me direz-vous ? Nous nous inscrivons rapidement pour leur donner à manger. L'opération se passe le soir : les dauphins viennent en fin de journée vers la côte. Les rangers canalisent les badauds venus observer depuis la jetée et donnent les instructions de sécurité aux élus du jour. La sécurité est surtout pour les dauphins, pour éviter de leur faire ingérer quoi que ce soit de nuisible, limiter le risque de conflits liés à l'accès à la nourriture,... L'objectif est de ne pas trop perturber les habitudes de ces dauphins sauvages, en ne leur fournissant qu'une petite partie de leur alimentation, en limitant les interactions avec les plus jeunes... La loi interdit d'ailleurs de toucher un dauphin sauvage. Lors de notre première séance, nous verrons 4 dauphins, dont une maman et son bébé de 2 semaines. Le fait de leur donner à manger ne dure que quelques secondes, mais la proximité laisse un souvenir réjouissant. Nous retournerons les voir quelques soirs : ils viennent parfois en force (6-8), parfois se font attendre. Cette relation ne date pas d'hier : les aborigènes travaillent avec eux depuis longtemps. Ils se rendaient dans l'eau, frappaient deux côtes de dugong ensemble pour attirer l'attention des dauphins, qui rabattaient les poissons vers le bord. Les pêcheurs les attrappaient et distribuaient les prises entre eux et les dauphins, pour les remercier de leur collaboration. Aujourd'hui encore, les dauphins apportent parfois certaines prises aux rangers avec qui ils passent le plus de temps.

Au final, seulement 2 jours et demi de vraiment beau temps, mais plein de très beaux souvenirs. Et un 31 décembre particulièrement réussi, avec coucher de soleil sur la plage, la possibilité imprévue de retourner nourrir les dauphins, un magnifique ciel étoilé,...

Une fort bonne semaine :)

Et oui, nous avons aussi des photos à partager !